ZONE DE TRANSIT
Quotidiennement, l’homme Ă©volue au grĂ© d’enchevĂŞtrements architecturaux urbains Ă gĂ©omĂ©tries variables.
Il dĂ©ambule, crĂ©ant jour après jour un rapport intime Ă l’espace arpentĂ©. Il le domestique, s’y confond jusqu’Ă Ă©prouver un sentiment d’appropriation, source de son bien-ĂŞtre.
Pourtant, ce dĂ©dale de bĂ©ton que reprĂ©sente les grandes villes reste « zone de transit ». Certains ĂŞtres ne font que passer, simples curieux, juxtaposant la fuite Ă l’assimilation.






